Chats des Rues 63

La chronique de Lulu – Octobre 2017

La chronique de Lulu – Octobre 2017

Hello les chat’mis!!!

Oui, c’est bien moi, « LULU » (dit le p’tit lutin) qui reprend la plume.

Grace à vos dons une partie de mon hospitalisation et de mes examens a pu être payée.

C’est très gentil à vous, vraiment !!! Je crois que vous m’aimez bien et ça me fait tellement plaisir ! Je vous remercie et ma nounou vous est très reconnaissante.

J’ai passé des tas d’examens, radios, échographie du cœur. Le vétérinaire qui m’a examiné a été tellement surpris en voyant l’échographie qu’il a appelé sa collègue, ils n’avaient jamais vu un cas pareil – encore en vie- ! Mon espérance de vie, d’après eux, était de 3 mois. Et j’ai 1 an et demi !

J’ai une malformation thoracique qui provoque une hernie phréno-péricardique avec compression sur le cœur droit, une dysplasie de la valve pulmonaire avec une hypertension pulmonaire de 20 pour cent. Je ne comprends rien à ce vocabulaire mais j’ai bien compris que je peux mourir bientôt. Alors je joue comme un petit fou, je profite de chaque instant, je suis curieux de tout. Ma nounou me soigne, je ne dois manger que des pâtés mousseline et des morceaux de poulet hachés. Je vole bien quelques fois une croquette aux copains !

De temps en temps je vous donnerai de mes nouvelles mais il faut que je me repose et me ménage. Alors à « Chats des rues 63 » ils ont dit : « Lulu, tu écriras ta chronique quand tu en auras envie, tant pis si ce n’est ce n’est plus tous les mois. »

Je veux quand même vous dire que cette année c’est la catastrophe pour les chats, il y a trop d’abandons, trop de minettes qui ne sont pas stérilisées et font des portées qui grandissent dans la rue … et il n’y a plus de place dans les associations pour les recueillir ! « CHATS DES RUES 63 » A FAIT 49 CAPTURES RIEN QUE PENDANT LE MOIS DE SEPTEMBRE !

J’ai plusieurs copains proposés à l’adoption qui ont dépassé les 4 mois, ils restent craintifs et du coup personne ne les adopte. Cherchez leur une famille SVP.

Merci et à bientôt,

Lulu